Un gouvernement engagé, comme le stipulent les décrets d’utilité publique, auprès de l’entité AMIPI - Bernard VENDRE

LDH Ministres

Le gouvernement s’est mobilisé autour de l’AMIPI pour préserver et soutenir ce modèle unique :

 

• Agnès Pannier-Runacher, Ministre déléguée auprès du ministre de l’Economie, des Finances et de la Relance, chargée de l'industrie

• Sophie Cluzel, Secrétaire d’État auprès du Premier ministre, chargée des Personnes handicapées

• Thibaut Guilluy haut-commissaire à l’emploi et entrepreneur de l’engagement sociétal, auprès du ministre du Travail, de l’Emploi et de l’Insertion

 

... ont pleinement rappelé leur soutien à l’AMIPI.

 

Retour sur cet évènement filmé le 22 juin 2021 à Bercy, par Zoo Production, Alain Mandel : « Le modèle AMIPIen à Bercy »

 

 

 

 

Sophie Cluzel, Secrétaire d’État auprès du Premier ministre, chargée des Personnes handicapées, a souligné : « nous avons en France la chance d’avoir un parcours possible : en partant des Esat, aux entreprises adaptées, au monde dit «​ ordinaire total.» L’engagement aujourd’hui de chefs d’entreprise, sur ce mot « S » de RSE (Responsabilité Sociétale des Entreprises), permet de faire vivre [cette chaîne]. »

« L’AMIPI porte un modèle que l’on souhaite encourager et valoriser. »

 

Thibaut Guilluy, haut-commissaire à l’emploi et à l’engagement des entreprises, auprès du ministre du Travail, de l’Emploi et de l’Insertion a précisé : « les entreprises de demain qui réussiront sont celles qui seront capables de révéler tous les talents, tous les potentiels et donc d’être inclusives. Cette alliance entre les entreprises et la société civile ; les politiques publiques et les acteurs publics, l’AMIPI en est la quintessence. […] C’est parce que les acteurs de l’automobile ont su tisser des liens de confiance dans la durée pour allier l’industrie et l’inclusion que l’AMIPI a réussi à poser une graine. L’AMPI est un modèle qu’il faut qu’on accompagne et qu’on défende car il est inclusif. »

 

 
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Agnès Pannier-Runacher, Ministre déléguée auprès du ministre de l’Economie, des Finances et de la Relance, chargée de l'industrie a déclaré : « l’industrie est un levier majeur d’inclusion sociale, culturelle et territoriale. Vous avez établi une nouvelle frontière. L’AMIPI est un lieu où l’on apprend. C’est un site de production mais surtout un endroit où l’on s’éveille en permanence dans l’objectif de pouvoir occuper un emploi en milieu ordinaire et ça marche ! […] Mon message à l’AMIPI, c’est de continuer à accompagner de plus en plus de travailleurs et de faire en sorte que cette démarche qui est à la fois construite sur la bienveillance et l’empathie et aussi l’exigence, mais qui est également extrêmement scientifique, puisse continuer à faire des petits sur tout le territoire français. »

« Cette cause, ce n’est pas seulement celle du handicap, c’est plus largement la cause de l’insertion et la défense du travail comme remède et moyen d’émancipation bien au-delà de la seule sphère économique. […] Vous n’êtes candidat à rien, sauf erreur, mais « s’accomplir et s’émanciper par le travail » pourrait constituer le nœud de votre programme. […] Avec vous, l’usine devient comme vous le dites un « lieu de soins » bien plus efficace qu’un établissement médical, et l’industrie donne une chance à ceux qui en ont le plus besoin. […] En définitive, par le travail on guérit et on apaise parce que l’on apprend mais aussi parce que l’on crée du lien social. Or, et je partage votre avis, le système industriel est pour vous un réel « gisement de travail ». Grâce à l’industrie, et en l’occurrence grâce aux acteurs français de l’automobile, il est donc possible de développer la société et d’éviter le coût que vous jugez « pharaonique » du non-travail. […] Je conclus en affirmant que la Fondation est une réussite exemplaire. Elle met en œuvre votre slogan : « chacun se développe en développant les autres. » […] Vous avez contribué à créer un modèle d’entreprise pour les « sans voix » qui doit être démultiplié. Je soutiens cette approche au sein de l’Etat et la présence de Sophie Cluzel, Thibault Guilluy et Pierre-André Imbert démontre que je ne suis pas la seule. »

 

 

Tous ensemble, en décloisonnant et en œuvrant vers un objectif commun, nous parviendrons à lier insertion, industrie, travail, économie et RSE ; pour cela, il faut miser sur l’entrepreneuriat de l’engagement sociétal.